jeudi 26 novembre 2015

Sortie du Lundi 30 novembre 2015 à Lamanon



LAMANON ET LE SITE DE CALES

Montage photos d'Yvon

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Nouveautés : 


Le montage photos d'Yvon 
Les liens vers des pages web ou... vers des pages et articles du blog...


Et:


Les dessins de Jeannine
Les photos de Béatrix, Catherine, Jean Paul, Jeannine, Marie Christine, Marie Thérèse et Nadine
Les textes d'Hélène et, pour les lichens, de Marie Thérèse
L'article sur l'arbousier est bien complet avec les explications d'Hélène et de Marie Thérèse

et sur le terrain, les explications de :
Catherine, Hélène et Marie Thérèse 

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Superbe journée encore ce 30 novembre!!!
La vingtaine de brins d'herbe inscrits avaient rendez-vous près du "géant de Provence", comme on l'appelle là-bas : le platane de Lamanon.
Nous avons pu nous garer le long de la route qui mène au château. 

Photo de Nadine
 


La propriétaire nous a gentiment autorisés à nous approcher, 
nous recommandant vivement de ne pas aller sous les branches!!

Platane de Lamanon

Platanus orientalis 

   
Port exceptionnellement étalé, tronc rugueux, feuilles lobées jusqu'au delà du milieu, capitules femelles par 3 à 6, souvent par 4.

Platinus acerifolia ou Platane commun,
 que l'on trouve le long des routes et des canaux, a des feuilles lobées tout au plus jusqu'au milieu et les capitules sont le plus souvent par 2. 

On rencontre dans toute la France des arbres à feuilles plus ou moins profondément découpées par les lobes, certains plutôt rares, se rapportant à Platanus orientalis, les autres, désormais dominants, ayant les caractères de Planus acerifolia.


Mais il existe maintes formes intermédiaires et il suffit de s'en tenir à l'appellation courante de "Platane" pour ce qui concerne ces seigneurs des exotiques acclimatés sous nos climats (Pierre Lieutaghi)


Photo de Béatrix


Photo de Nadine


 Ce platane est classé monument naturel depuis 1918, il fait 35m de haut, 8 mètres de circonférence. Sa frondaison s'étale sur 1250 m2. 

Photo de Nadine
Photo de Marie Thérèse












Une histoire dit qu'il a été planté au XVIème siècle par Catherine de Médicis venue rendre visite à Nostradamus. Il paraît plus vraisemblable qu'il ait été planté en même temps que la construction des canaux d'irrigation du parc du château au début du XVIIIème siècle.
  Il aurait donc 300 ans. 


 Actuellement, il montre des signes de faiblesse et aurait besoin de soins.
Son propriétaire privé n'a pas le droit de le toucher car il est classé, mais personne ne fait rien, dit-il. La mairie envisage d'acheter le site et de le gérer.

Une étude a été réalisée à la demande du département afin d'envisager une mise en valeur de cet arbre qui figure parmi les cinq platanes les plus remarquables d'Europe. 

Photo de Béatrix

Photo de Béatrix
Photo de Marie Thérèse

Photo de Béatrix



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Le seuil de Lamanon

Lamanon est un village déperché : jadis les constructions s'étalaient sur l'éperon rocheux, dominant les plaines de la Durance au Nord et de la Crau, au Sud.

C'est un site exceptionnel, occupé depuis des millénaires, 
bordé d'une pinède dense et de falaises ocres.  
 Idéalement situé entre les Alpes et le delta du Rhône, le seuil de Lamanon percé entre la chaîne des Alpilles et la chaîne des Cotes (au-dessus de la Roque d'Anthéron) était un lieu de passage pour les troupeaux sauvages comme pour les caravanes, un passage qui correspond à l'ancien lit de la Durance quand elle n'était pas affluent du Rhône, mais un fleuve qui se jetait directement à la mer par un large delta dont il reste l'étang de Berre et la Crau. 

Actuellement, par ce seuil passent l'autoroute Lyon / Marseille, le TGV Méditerranée et le canal EDF Mallemort / étang de Berre qui suit le trajet de l'ancienne Durance.


Photo de Béatrix


Françoise (photo de Nadine)

Photo de Nadine



Photo de Nadine




 

 

 

 

 

Photo de Béatrix

Lamanon - Site de Calès


Lien vers le site pour les explications détaillées


La visite de ce site magnifique doit se faire par temps sec car certains passages peuvent s'avérer glissants

Le cirque

 Le sentier ombragé conduit à la carrière, un cirque entouré de 58 grottes sur les 116 recensées, creusées dans un gré tendre; Il est fermé au Sud et au Nord par deux enceintes. Ces grottes ouvrent sur la carrière d'où ont été extraits les blocs de pierre nécessaires à la construction du château féodal construit sur un piton rocheux qui se dresse 25m au-dessus du cirque. Quelques vestiges perdurent, prolongeant le rempart naturel que constitue la falaise.


Dessin de Jeannine

Le porte sud (début XIIIe) présente huit corbeaux et des mâchicoulis, tous remarquables. Il fut détruit presque en totalité en 1586. Sur l'emplacement de l'ancien donjon, une statue de la vierge à l'enfant a été placée en 1866.

 
Photo de Marie Thérèse




Transformé en habitations troglodytiques ce cirque a été occupé de l'époque néolithique jusqu'en 1586. 150 à 200 villageois vivaient là vers 1245.
C'est un exemple de vie communautaire au Moyen-Age. Ces troglodytes étaient prolongés 
par un ouvrage en bois. 
Photo de Béatrix
L'emplacement des poutres est visible au-dessous des corniches creusées dans le rocher. Ces dernières ou "larmiersé empêchaient les eaux de ruissellement de suinter dans l'habitation et permettaient leur collecte.
 
Photo de Nadine
 


 De nombreux aménagements intérieurs demeurent : escaliers, niches, anneaux de suspension, silos à grains, à huile, aiguier...
Au centre du cirque, un rocher, spécialement aménagé, constituait une grande salle. Couverte d'une charpente, appelée "salle du Tribunal", elle était un lieu de réunions pour la communauté et certainement aussi de décisions.



Photo de Béatrix


Photo de Béatric
Photo de Béatrix

Photo de Béatrix


Photo de Béatrix


Photo de Béatrix
Photo de Béatrix


Photo de Jeannine


Photo de Béatrix
Photo de Béatrix
Photo de Béatrix

Photo de Béatrix
Photo de Béatrix

Photo de Béatrix



Photo de Marie Thérèse
                                                                                              
Photo de Marie Thérèse
Photo de Marie Christine
Photo de Jean Paul


Photo de Nadine

 

 

Photo de Marie Christine

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Le télégraphe de Chappe :


Ce lieu surélevé au-dessus du seuil a aussi été utilisé pour les télétransmissions, la ruine du télégraphe de Chappe l'atteste. Situé sur la ligne Lyon/Toulon construite en 1821, la station relais permettait une communication visuelle par sémaphore. Ce moyen, mis au point par Chappe en 1794, généralement sur des tours Chappe, nécessitait 2 personnes à chaque relais espacés de 10 à 15 kms et ne pouvait fonctionner la nuit et par temps brumeux. 



Photo de Béatrix

 Mais ce site merveilleux ne devait pas nous faire oublier l'observation des plantes!


Salsepareille - Smilax aspera L.

 Famille des Liliaceae

Beaucoup de salsepareilles sur le site, mais pas l'ombre d'un Schtroumpf !!!!!

Photo de Nadine

Photo de Jean Paul

Dessin de Jeannine


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 L'arbousier - Arbustus unedo

 ÉRICACÉES


 
https://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/a/a2/Arbutus_unedo_Corsica.jpg


L'arbouse étant plus agréable à l’œil qu'au palais, on n'en mange jamais plus d'une
 (unum edo = j'en mange un) 

Fleurs d'octobre à janvier : fruits contemporains (fleurs de l'année précédente)
Conditions de croissance idéales sur les sols siliceux de la région méditerranéenne.
Il est rare sur le calcaire et seulement lorsque la roche est formée de carbonates peu solubles, peu assimilables.

Il croît sur tout le pourtour de la Méditerranée, s'en écartant seulement pour une irradiation en climat atlantique jusqu'au sud de l'Irlande.

Usages : 

Sa digestibilité fraîche est très faible, on ne saurait en abuser.
Les arbouses se prêtent par contre fort bien à la fabrication de confitures. Il faut avoir soin d'utiliser le tamis après le passage à la moulinette, afin de rejeter toutes les graines, toutes les granules de la peau.  En Corse, on fait un vin d'arbouses en laissant les fruits écrasés macérer dans l'eau jusqu'à fermentation. Au Portugal, on en tire par distillation une eau de vie non dépourvue de qualités ; "le Medrono".
Le bois, dur, lourd, au grain fin, au riche coloris variant du rougeâtre au rouge-vrun en passant par le cramoisi, prend un beau poli et peut servir, après séchage, à des ouvrages de tour et de menue ébénisterie. C'est un excellent combustible et le charbon qu'on en tire est un des plus fins, un des meilleurs qui soient.

 
Photo de Nadine



Photo de Béatrix
Photo de Marie-Thérèse

Photo de Jean Paul

 

Dessin de Jeannine

Photo montage de Marie Thérèse

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

  Message de Marie Thérèse :

 

Sur cet arbre à fraises, nous pouvons trouver une chenille qui ne vit que sur cette plante-hôte, il s’agit de la chenille du Pacha à deux queues
En ce moment, deux chenilles broutent les feuilles de mon arbousier, elles sont “nées” le 19 septembre...
affaire à suivre...

 

Nymphale de l'arbousier - Charaxes jasius

Pacha à deux queues 

 

Photo de Marie Thérèse

 

                         
Photo de Marie Thérèse




Photo de Marie Thérèse





Article très intéressant sur le lien suivant : http://www.insectes-net.fr/jasius/jasius2.htm





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Diploschistes ocellatus


du grec diplos "double" et schistos "divisé" allusion aux 2 rebords des apothécies.
 Ocellatus : allusion à la forme en ocelle de ces dernières 

C'est un champignon  lichénisé à thalle crustacé, très épais, crayeux, verruqueux à surface plissée.

Le photosymbiote est un Trebouxia, c'est à dire une algue verte unicellulaire.
Les apothécies en forme de cupules grises peu saillantes ont un bord épais recourbé en dedans, contiennent les asques avec les spores.

Il est saxicole, vivant sur rochers calcaires (purs ou gréseux comme ici à Lamanon), bien exposés depuis l'étage mésoméditerranéen jusqu'à l'étage collinéen. 


Disploschistes ocellatus - Photo de Marie Thérèse

Disploschistes ocellatus - Photo de Marie Thérèse

Squamarina cartilaginea - Photo de Marie Thérèse


Caloplaca aurentia - Photo de Marie Thérèse












Caloplaca flavovirens - Photo de Marie Thérèse


Fulgensia fulgens - Photo de Marie Thérèse



























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Buplèvre - Bupleurum

 

Photo de Nadine

Photo de Nadine

Photo de Jean Paul

 
Dessin de Jeannine




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Quelques panneaux vieillis mais résistants témoignent du travail
d'élèves du CM1 / CM2
Parfois le panneau reste, mais la plante a disparu...

EUPHORBE CHARACIAS - Euphorbia characias


 
Photo de Nadine

Photo de Nadine



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Graminée - Piptatherum miliaceum




Photo de Nadine



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Baguenaudier - Colutea arborescens

 

FABACÉES

Photo de Jean Paul
Photo d'Hélène

 Le Baguenaudier - Colutea arborescens

 

 FABACÉES



On l'appelle "arbre à vessies"; c'est un peu le bouffon de nos arbrisseaux. Les jours de vent il fait un bruit de boites vides entrechoquées, ce qui lui vaut son nom espagnol d'Espantalobos : effraye loup. Les gousses éclatent avec explosion quand on les presse entre les doigts avant maturité car elles contiennent alors un gaz composé d'azote, d'oxygène et un peu de gaz carbonique. Elles renferment 20 à 30 graines en forme de lentille, lisses et brunes. Se rappeler que ces graines, violemment purgatives et vomitives, peuvent être dangereuses. 


Nous avions pris quelques photos du baguenaudier lors de notre sortie à la forêt des cèdres

http://assobrindherbenature.blogspot.fr/2015/06/assemblee-generale-la-foret-des-cedres.html



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Alysson maritime - Lobularia maritima (L.)

Famille des brassicacées

Photo de Jean Paul
Dessin de Jeannine

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Mauve 
Famille des malvacées


Photo de Nadine

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Ciste cotonneux


Photo de Jean Paul

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Polypodium cambricum


Polypode du pays de Galle ou Polypode austral
« réglisse provençale »


Photo de Nadine
Ce polypode est le plus méditerranéen de son genre. Il se reconnaît à ses frondes très larges, souvent plus larges que longues, dont la partie terminale est brusquement réduite en une longue pointe. Il se rencontre sur les rochers et les pentes rocailleuses, généralement en sous-bois chauds.
Il fructifie en hiver et se dessèche en été
Les gens de la campagne arrachaient autrefois pendant l’hiver les racines de cette petite fougère qui pousse en sous-bois ou sur les vieux murs. Ils les employaient pour préparer une tisane < intestinale > au gout de réglisse. Pour un bol, employer l’équivalent d’une cuillère à café de rhizome séché de polypode
qu’on laissera infuser 10 à 15 minutes.
Cette infusion aux vertus antiparasitaires est très bien acceptée par les enfants.


Photo de Jean Paul



Photo de Jeannine


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 Arum italicum 

ARACÉES

 

Photo d'Hélène
  Les feuilles engainantes à la base, à limbe à forme de fer de flèche à 2 oreillettes triangulaires écartées peuvent être confondues avec celles du chénopode Bon-Henri ou épinard sauvage, bon comestible. Mais les feuilles de ce dernier sont couvertes en-dessous d'une poussière farineuse caractéristique qui devrait éviter toutes confusions. 

Le contact de leur suc avec les muqueuses ou les yeux sont dangereux. L'ingestion d'une partie de la plante peut provoquer un oedème de la gorge pouvant entraîner la mort par asphyxie. Les fruits rouges sont très attirants pour les enfants. 
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Photo de Béatrix
Suivre le lien pour tout savoir sur la chapelle Saint Denys


Photo de Nadine

Photo de Nadine




Photo de Nadine



 Les brins d'herbe ont encore fait des prouesses...

Sirops d'épine-vinette de Françoise et de prunelle de Liliane, vin de Sautel d'Yvon ...

Photo de Bétrix

Photo de Nadine



Mais aussi les gâteaux de nos brins d'herbe pâtissiers du jour :
Béatrix - Claude - Jean Paul - Liliane - Michèle
 












Recette du gâteau au citron de Jean Paul sur la page "recettes" 
 


  Recette du pain d'épices de Béatrix sur la page "Recettes"

 http://assobrindherbenature.blogspot.fr/p/recettes.html

 


Pin d'Alep - Pinus halepensis DS

Arbre d'une grande élégance, il est un des plus caractéristiques du paysage de Provence. 


Photo d'Hélène

 On le reconnait à son tronc presque toujours flexueux, à sa ramure fine, assez dense, d'un gris argenté et ses aiguilles d'un vert léger, flexibles, ténues, les plus fines du genre chez nous, à ses cônes nettement pédonculés, inclinés vers le bas, persistant très longtemps sur les branches.

 
Photo de Marie Christine

Photo de Nadine

 

Photo de Béatrix

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Exploitation de la résine du pin d'Alep



Si le bois du pin d'Alep, léger et peu résistant n'est pas de grande valeur, sa résine abondante et de bonne qualité a donné lieu à une industrie à la fin du XVIIIème siècle et au début du XIXème, surtout dans les Bouches du Rhône où il y avait une quarantaine d'ateliers produisant la "térébenthine de Provence".
A Lamanon, les premiers résiniers sont venus des Landes et ont apporté leur savoir dans le gemmage, leurs descendants vivent encore à Lamanon.
La scierie et la distillerie étaient sur l'emplacement de l'usine actuelle Bonna Sabla, elle distillait la résine pour produire l'essence de térébenthine (peintures, vernis) et le colophane (adhésifs, colles, chewing gum)



Photo d'Hélène


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Aurore

Photo de Marie Christine


Gérard
 
Photo de Marie Christine




Thérèse et Françoise

Photo de Marie Christine




De gauche à droite : Elizabeth - Liliane - Monique - Michèle
Et Gérard de dos..

Photo de Marie Thérèse




Marie Thérèse, Suzie et Liliane


Photo de Nadine



N'hésitez pas à consulter les pages du blog!

Le glossaire de la plupart des plantes rencontrées depuis le mois de mars




Les recettes de cuisine


Le compte rendu de l'assemblée générale de juin 2015


Des exemples de réalisation d'objets en gales de chêne




Ce blog est celui de tous les brins d'herbe, n'hésitez pas à envoyer :
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et pourquoi pas sur la page info, les manifestations concernant les plantes dans notre région (marchés de Noël, échanges de plantes, conférences etc.) - Ce serait bien que cette page soit actualisée régulièrement afin de justifier son titre de page "infos"



Vous pouvez pour cela  contacter Hélène ou Nadine

YVON SOUHAITE DE BONNES FÊTES

A TOUS LES BRINS D'HERBE



Photo d'Yvon

Photo d'Yvon